mardi, janvier 25, 2005

Et maintenant ? ? ?

J’ai besoin d’aimer pour vivre
J’ai besoin d’être rassuré
Mais à force de me brûler les ailes ….
A par en rampant, je ne sais plus avancer

Ne me quitte pas !
Je pense que c’est la chanson qui me défini le mieux.
Je ne m’aperçois que j’aime que lorsque c’est fini.
Pendant ma relation, je sens que je suis bien, mais je n’aime vraiment, qu’après.
Et c’est trop tard.
Et la seule fois ou j’ai aimé pendant, c’était à sens unique et ça détruit encore plus.
Alors la solution, j’aimerais bien la trouver.
Je regarde autour de moi, je discute, je parle, j’analyse.
Et il n’y a pas de recette miracle.
Je la vois, Elle, qui a pris la décision, elle qui ne m’aime pas !
Je la vois, elle n’est pas mieux que moi, au contraire elle assume encore moins.
Car elle est seule par choix, parce qu’elle n’aime pas !
C’est le seul avantage de ma position, moi je sais que je peux aimer.
C’est ce qui me fait continuer, c’est mon moteur.
Si j’ai pu aimer, pourquoi est-ce que ça s’arrêterait maintenant ?
A chaque fois ça a été mieux, plus fort, plus intense !
La prochaine fois que j’aimerais, je n’ose même pas imaginer la tornade de sentiments que ça va me provoquer.
Je n’aime pas facilement, mais j’aime vite !
Je m’en rends compte vite, très vite.
Mais je suis tellement difficile.
Je veux qu’elle soit comme moi : parfaitement imparfaite ! ! !
Je veux être surpris tous les jours, pouvoir l’aimer et la détester !
Rire, pleurer, partager, se perdre, se retrouver, s’éloigner, se rapprocher, qu’elle me comprenne, qu’elle ne me comprenne pas.
Que je la connaisse par cœur mais que je la découvre tous les jours.
L’avoir entièrement a moi, mais devoir la re-conquerir tous les jours.
Que dès que je la vois mon cœur s’arrête.
Bref, comme d’habitude tout en exagérations et en contradictions.
Mais j’ai tellement besoin de ce souffle épique pour ne pas m’ennuyer.
Et la, déjà que je ne me dépêtre pas de mes souvenirs, je ne vois rien a l’horizon !
Personne qui me titille le cervelet, aucune qui me fait frissonner.
Enfin si, il y en a une, mais j’ai décidé d’essayer d’être raisonnable.
Alors on va éviter de se faire du mal, de s’auto-detruire.
Parce que la, c’est même plus don quichotte qui se bat contre des moulins, c’est carrément rencontre du troisième type (mais avec un Aliens a la place des gentils ET ….) ! ! !
Bref, oublions, ça fait moins mal.
Tout ça pour dire que je m’ennuie.
OK ! Je voyage tout le temps !
Je ne suis jamais chez moi, mais je m’ennuie de sentiments, de passions.
Ca fait plusieurs mois maintenant que je galére dans mon maelström d’interrogations et mon numéro d’amoureux transi.
Et je n’arrive pas à en sortir.
Ou plutôt je ne rencontre personne qui me donne envie de m’en sortir.
Et ça c’est triste.
Car je ne sais pas si c’est moi qui ne vois plus, ou si c’est simplement un mauvais passage.
J'en parlais avec une amie il n’y a pas longtemps, je ne trouve même plus de fille belle, je les trouve toutes fades, inexistantes, insignifiante, inintéressantes.
Et pourtant j’ai vraiment envie de passer à autre chose.
A+, Fred.

lundi, janvier 24, 2005

Nostalgie .....

Cet aprèm a la radio (nostalgie, on écoute nostalgie au bureau, je vous laisse imaginer mon humeur depuis 10 jours, mais demain je change je met fun !!).
Bref on écoutait nostalgie et il y a eu Mr Barry White : you’re the first ……
Souvenirs, souvenirs, souvenirs ….
Déjà que, suite à un sale rêve, j’ai été mélancolique toute la journée, ça en a rajouté une bonne couche.
J’ai écris un truc d’ailleurs , mais comme le serveur du boulot a été en panne, bon mon mail n’est pas arrivé et je ne peux donc pas le poster ce soir , c’est dommage car ça résumait très bien mon état d’esprit du moment.
Re-bref (décidément j’ai l’esprit aux digressions ce soir ..) je parlais de Mr Barry White !
Souvenirs de Ally McBeal.
Des séances du jeudi soir où on se retrouvait pour regarder, morts d’impatience, les derniers épisodes.
Que ce soit entre nous avec Yael, ou avec les filles : Marie (l’autre, ma meilleure pote, pas celle dont je parle tout le temps en ce moment ) Béa, Ghis ou même magalie …
Bref ces moments de bonheur partagés.
C’était doux, c’était chaud, c’était bien.
Tout ça pour dire que j’ai envie d'être simplement heureux, d'être à nouveau amoureux.
De repartir a la conquête de nouveautés.
Toujours est il que ça m’a fait du bien de repenser a ces souvenirs là.
Ca doit être le résidu de ce rêve de mer…. De hier soir.
Envie de replonger dans les bons moments.
De se refaire les images et les moments de bonheurs que j’ai vécu.
Mais bon, déjà que je réfléchi beaucoup trop, si quand j’arrive, enfin ! a ne plus y penser ce sont mes rêves et mon inconscient qui prennent le relais , je vais jamais m’en sortir !!
Ou alors faut que je me mette une bonne tête avant ….
Mais ça c’est pas très sérieux, sauf le week-end ;-)
A+, Fred.

Continuer .....

M’enfuir loin de tous mes sentiments,
Enfouir tous mes souvenirs,
Mettre un voile sur mes rêves,
Tuer l’amour, tuer mon Eve.

Devoir tirer un trait à jamais,
Devoir enlever de mes pensées,
Toutes ces nuits, tous ces jours,
Où nous avons fait l’amour.

Ces moments d’intensité,
Ces moments d’éternité,
Cette communion ultime,
Cette passion sublime.

Jamais je n’avais ressenti ça, elle m’a rendu meilleur.
Elle m’a ouvert des portes dont je n’avais pas conscience.
Elle m’a tellement fait du bien, elle m’a enlevé mes peurs.
Elle m’a fait découvrir des frissons dont j’ignorais jusqu'à l’existence.

Ne pas sombrer dans la fatalité,
Ne pas penser qu’aux mauvais cotés,
Il me faut admettre que tout cela est fini,
Même si ce fut les meilleurs moments de ma vie.

Ne pas se dire que cela ne sera plus jamais.
Peut être avec une autre, qui sait ?
Avant de la rencontrer, je ne savais que pareil merveille pouvait exister,
Et encore moins qu’a moi elle pouvait se donner et s’abandonner.

Il me faut arrêter de vivre pour et par elle,
Même s’il est si dur d’oublier que la vie était belle, avec elle
Il me faut arrêter de l’idolâtrer
Mais je souffre tellement de ne plus recevoir ses baisés

Il me faut espérer, croire, me persuader
Que quelque part il en existe une autre aussi belle,
Aussi enchanteresse qu’elle,
Plus même, car celle-là me laissera l’aimer.

Frédélrick.

samedi, janvier 22, 2005

Horoscope de ce matin

" Je ne crois que ce que je vois " ne risque pas de s'appliquer à vous aujourd'hui Frederick... Vous vous égarerez facilement et votre imagination sera particulièrement débordante, au point que vous risquez de faire d'interminables digressions. Petit crabe, apprenez à marcher droit, sous peine de vous heurter à une dure réalité contre laquelle aucune carapace ne saura vous protéger

Bon, ben le « petit crabe », il va essayer de faire au mieux.
Ou pas …..A+, Fred

Résultat

Alors voila il a choisit son ex !!
Marie se retrouve donc de nouveau seule.
Vous me dire que ça me réjouit serait mentir, comme vous dire que ça ne me réjouit pas …
Mais la sensation générale est que je me sens libre !!
Libre de pouvoir reconstruire ma relation avec Marie.
Enfin réussir à dire ; en la présentant :
Je vous présente Marie, mon amie
Et plus, je vous présente Marie, mon ex …
Réussir a enlever tous les sentiments de merde qui me reste
Etre libre, pour elle, pour MOI !!
Bref, passer le cap.
Et c’est beaucoup plus simple depuis qu’il n’est plus la, lui.
Je ne m’étends pas plus la dessus, car c’est un sujet encore très sensible, qui me fou un cafard monstre et des cauchemars sans fins.
Je ne supporte pas que quelqu’un d’autre la touche, c’est comme ça pour l’instant et c’est pas simple !!
Mais la réalité c’est ça !
Bref, maintenant ça va mieux.
J’ai un énorme poids en moins sur l’estomac.
Hier soir on est allé faire les soldes, c’était trop bien, de pouvoir, a nouveau se voir comme amis.
Même si le coup du zip a lui défaire dans la cabine d’essayage a été dur (pour moi..) a avaler ……
C’est fou ce que c’est érotique une cabine d’essayage, surtout quand le zip résiste ..
Bon, donc ça va mieux, je vais essayer de passer un bon ouikend.
Là, j’ai tellement écris ces derniers jours que je ne sais plus trop quoi mettre !
J’ai l’impression de sortir d’un tunnel, et de revoir le ciel pour la première fois depuis 15 jours.
Mais je vous tiens au jus.
A+, Fred.

mercredi, janvier 19, 2005

Contradiction ....

J’ai besoin de sa présence pour supporter son absence !

J’ai oublié de vivre

J’ai beau dire le contraire, c’est vrai !
Depuis que j’ai rencontré Marie, je ne vis plus que pour elle et que par elle.
Même si je refuse de le reconnaître.
Même si je m’invente des petits coups de cœurs.
Je fonce systématiquement dans des relations dont je sais pertinemment, inconsciemment qu’elles ne pourront pas marcher.
Est-ce une peur de m’engager ?
Est-ce un besoin de challenge ?
Ou alors est-ce que j’aime tellement l’impossible, les amours romantique éternellement déchirés, la passion, que je reproduis ces schémas dans ma vie ?
Qui que ce soit, depuis Yael, je ne recherche que l’impossible, la difficulté.
Que ce soit avec Myriam, Marie, Olivia, plus toutes celles qui n’ont pas dépassé quelques jours ou celles qui trottent dans ma tête.
Pourquoi donc est-ce que je tombe accroché de ces filles, dont je sais très bien que la seule chose qu’elles pourront me faire c’est du mal !
Toutes, m’apprécient énormément, m’aimes beaucoup, etc… etc ….
Mais pas d’Amour (avec un grand A ).
J’ai beau le savoir, le ressentir, dès le départ, c’est plus fort que moi j’y vais quand même, ça m’attire, je fonce.
Et après je m’étonne d’avoir foncé droit dans le mur, d’être dans une impasse.
Toutes ces relations à sens unique.
Où je donne tout, où j’accepte tout.
Et où je ne reçois rien.
Et le pire c’est que je m’accroche.
J’en souffre, mais je persiste.
J’ai l’impression que je ne vis que dans l’urgence de la souffrance.
Je préfère souffrir, que d’être seul.
Mais je n’arrive pas à m’en empêcher, c’est vraiment plus fort que moi.
Je n’arrive pas à me dépêtrer de ma relation avec Marie, la j’en suis à me torturer parce qu’elle continue de vivre, mais dans le même temps j’ai une autre jeune fille qui commence à faire son chemin dans ma tête.
Et elle c’est la reine absolue des compliquées.
Je la connais depuis très longtemps, elle est perturbée, anxieuse, torturée, tout comme moi.
Ca fait longtemps que je la trouve sublime, mais là depuis quelque temps on se parle, et je lui ai découvert une autre facette, et elle me plait de plus en plus.
Mais c’est voué à l’échec avant même de commencer ! !
Je le sais, je le sens, je le vois, mais je ne peux pas m’empêcher d’y penser et je vais essayer quand même …
Même si pour l’instant j’ai autre chose à penser, que je ne suis pas prêt à lui dévoiler la vérité.
Toujours cette ambivalence en moi.
D’un coté je n’aimerais pas qu’elle ne le sache pas, d’un autre si, ça m’aiderait.
Alors je l’écris sur mon blog, je sais qu’elle vient le lire de temps en temps.
Et, à la fois, j’espère et je redoute qu’elle se reconnaisse
Mais bon la n’est pas le sujet de mon problème actuel.
La seule avec qui j’ai vraiment été, c’est Yael.
C’est la seule avec laquelle je me sentais vraiment aimé.
C’est pour ça que ça a duré si longtemps.
Et la c’est moi qui ai tout gâché en faisant l’inverse de ce que je cherchais vraiment.
Et la que maintenant, je sais ce que moi je veux, je ne cherche pas ou il faut, et je ne fais pas ce qu’il faut.
Mais je n’arrive pas à effacer, mes sentiments, mes envies.
Je n'arrive pas à dire non, à dire au revoir, à dire adieu.
Tout simplement à me rendre compte que ça ne fonctionne pas.
J’attends d’aller jusqu’au clash, qu’on me jette.
Je n’ais jamais rompu, avec qui que ce soit !
J’ai toujours attendu, la rupture de l’autre.
Sans doute pour me sentir mieux.
J’aime vivre dans l’urgence des sentiments.
Comme dans la vie, j’aime vivre dans l’urgence.
Ca doit venir de mon père, ce héros.
Chaque fois qu’on faisait quelque chose qui me faisait vivre, avec lui, c’était dans l’urgence.
Quelque part je dois sans doute vouloir reproduire ce schéma.
Le simple fait de faire mon sac pour le paint, j’ai toute la semaine pour le faire, mais non je le fais à la dernière minute, et c’est comme ça pour tout !
Mais Marie, c’est autre chose.
Marie c’est la passion à l’état pur.
Marie c’est des signaux d’alarmes qui s’allument dans ma tête, mais mon cœur ne les reçoit pas.
Je dois avoir la liaison cerveau/cœur qui ne fonctionne pas.
Je ne me l’explique pas, mais quand je la vois, le monde s’éclaire, s’illumine.
Et quand elle s’éloigne, tout redevient triste.
J’en suis dépendant.
Rien n’est raisonné avec elle, tout n’est qu’envies et impulsions.
J’occulte simplement la réalité.
Je suis entièrement à sa merci.
Moi qui ne me pli jamais devant rien ni personne, qui ne supporte pas le moindre ordre.
Qui refuse systématiquement l’autorité.
Je ne peux rien lui refuser, je suis entièrement à ses pieds.
Je ne sais plus comment faire, parce que le pire c’est que j’en ai conscience.
Je vois bien que c’est en train de me détruire.
Mais le peu de positif que j’en retire me fait oublier tout le reste.
Alors oui j’oublie de vivre, entre chaque moment passé avec elle.
J’attends le prochain regard, le prochain rendez-vous.
Et c’est tout ce qui me fait tenir.
Je n’ai plus de moment a moi, je ne fais plus rien, je ne programme plus rien de peur qu’elle m’appelle et que je sois déjà pris.
Je ne vis plus.
Et je le supporte.
Sans problèmes.
Mais seulement si on est deux.
La un troisième est apparu, et la je ne gère plus, je ne le supporte plus.
Toute la donne est faussée.
Et je panique.
Alors je rentre en moi, je tourne, je cherche, je fantasme.
Et je meurs un peu plus à chaque minute qui passe.
Parce que je ne fais rien d’autre que de ressasser des idées noires, des chemins que je suis le seul à voir.
Et après je lui en veux de ne pas voir comme moi, alors qu’elle ne peut pas se douter une seconde de ce qui se passe dans ma tête.
Et je suis contradictoire.
Je dis viens, pour qu’elle ne vienne pas !
Je ne dis ne viens pas, pour qu’elle vienne !
Comment peut-elle s’y retrouver ?
Et évidement quels que soient ses choix je lui en veux.
Hier soir, je n’en pouvais plus.
En rentrant je la croise, je lui dis bonjour.
J’en crève d’envie, mais je ne lui dis pas de venir discuter, je ne sais pas ou je campe.
Elle me propose qu’on fume une cigarette dans sa voiture pour discuter.
Je lui dis non et je file comme un voleur.
Et arrivé chez moi, en larmes, je lui téléphone pour lui demander de venir, alors qu’elle rentait chez elle.
Voilà ce que je vis au quotidien, et ce que je fais vivre aux autres.
Heureusement, mes ami(e)s sont plus intelligent(e)s et moins perturbé(e)s que moi.
Alors je cherche, je cherche les réponses, les pourquoi ?, en moi.
Je m’analyse, j’essaye de me décortiquer.
C’est une façon de dévier le problème.
Pendant ce temps la je ne pense pas à autre chose.
Pendant ce temps la je ne pense pas a elle, je ne pense pas à ce soir et à la fameuse question, et surtout à la fameuse réponse.
J’y ai pensé toute la nuit, je peux vous donner toutes les possibilités, dans ce monde comme dans d’autres galaxies !
Alors, STOP.
Il faut que je la laisse vivre.
Il faut que je me laisse vivre.
Mais pour ça, il me la faut près de moi.
Voilà toute la contradiction…….
A+, Fred.

mardi, janvier 18, 2005

J'ai craqué !!

Oui j’ai craqué !
Je l’ai vu ce soir.
Je ne fonctionne décidément pas comme tous les gens qui m’entourent.
Tout le monde me donne le même conseil :
Prend de la distance, oublie la, refait toi une santé !
Mais moi je n’arrive pas à passer le cap si je ne vois pas, si je ne parle pas à la personne.
Donc on a parlé, et beaucoup pleuré, ensemble, tous les deux, dans les bras l’un de l’autre.
Et PUTAIN, ça fait du bien.
Même si tout ce qu’elle m’a dit ne m’a pas plu, même si j’ai toujours cette impression d’être écorché vif.
Mais maintenant je sais !
Je sais, où elle en est, ce qu’il en est, ce qui s’est passé, ce qui va se passer.
Même si il me reste pas mal de craintes et d’épreuves à affronter, je cerne mieux ces épreuves.
Et ça rassure.
Savoir contre quoi on doit se battre.
Savoir qu’elle est toujours la, qu’on ne la perdra pas.
Qu’elle tient énormément a moi.
Même si ce soir c’était une énorme épreuve, même si j’attendais le résultat avec anxiété et appréhension.
Même si, en fin de compte, l’épreuve a été reportée faute de sa venue a lui lors de LA question qu’elle devait lui poser.
J’attends cette réponse, a lui, avec à la foi espoir et peur.
Mais bon, la, elle viens de m’envoyer un message pour me le dire, je respire.
Je vais me battre, je ne vais rien lâcher, pour me retrouver, pour me remettre, pour accepter et aller enfin de l’avant.
Et surtout pour que nous puissions nous retrouver l’un l’autre.
Et la je suis, enfin, depuis une semaine, un peu plus serein et confiant en l’avenir.
J’ai même réussi à manger.
J’écoute Beethoven et je respire de grandes bouffées d’air pur.
Et ça fait du bien.
Même si je sais que je ne suis pas prêt d’aller me coucher….
Même si je sais que ma nuit va encore être très courte et agitée.
Je ne penserais plus qu’a du positif.
Je suis enfin redevenu actif et plus passif.
Merci, a vous tous et toutes, pour votre soutien, ça aussi ça m’a beaucoup aidé.
Ce n’est pas fini, loin de la, mais je vois une lueur, au fond a droite après la sortie….
J’en sortirais plus fort, et je ne l’aurais pas perdue.
A+, Fred.

lundi, janvier 17, 2005

Aucun rapport

Vu sur le blog de Maia.
Trop fort, drole et second degré, avec une grande part de verité (si on enleve le discour pseudo-politique au troisieme degré)

http://www.yhchang.com/CUNNICORNORD.html

Un autre fois j'aurais mouru de rire
mais la j'ai pas mouru, juste souri, ce qui est deja enorme !
A+, Fred.

Derniére couche ..

J'avais decidé ( suite a une discussion avec une amie) de me plonger en moi meme.
Afin d'avoir des reponses aux pourquoi ????
Qui je suis ?
Pourquoi est ce que je reagis de cette facon ??
Etc...
Pour cela j'ai contacté des personnes specialisées dans les profils psychologiques.
Et ca à donné ca :
C'est fou, moi qui suis sceptique a toute forme d'analyse, je suis bien obligé de voir qu'ils ont raison a 100%
C'est moi, entierement moi.
Et evidement c'est aujourd'hui que je recoit ca !
Tant qu'a pleurer , autant tout faire d'un coup !
Mais là, c'est pas pret de s'arreter ...


BILAN-ANALYSE DE PERSONNALITE

La construction de votre personnalité

Votre personnalité est constituée d'un ensemble de tendances, de traits de caractère qui forment un tout cohérent. Ces tendances ont en commun une motivation inconsciente, au plus profond de vous-même. D'après vos réponses au questionnaire, il semblerait que cette motivation profonde et inconsciente soit la peur de ne pas être assez aimé ou d'être abandonné. Elle se traduit au quotidien par :

- Une grande sensibilité au regard des autres
- Des émotions exacerbées
- Le sentiment d'être différent, à part.

Il semblerait que votre personnalité se soit très tôt développée sur cette impression d'être différent, à part. Vous avez cru que cette différence vous empêcherait d'être vraiment accepté et pourtant, dans le même temps, désirant être authentiquement aimé pour qui vous êtes, vous avez affirmé votre différence en n'acceptant pas de vous conformer aux autres. Cette situation paradoxale vous a pourvu d'une sensibilité et d'émotions intenses auxquelles vous vous êtes identifié.

Nous allons revenir en détail sur chacun de ces éléments.

Le sentiment d'être différent

Ce sentiment d'être différent est en fait l'objet d'une certaine ambivalence : vous le vivez parfois comme un fardeau (il serait la cause d'un sentiment très présent en vous : la peur du rejet) et parfois comme un élément que vous valorisez. En effet vous attachez une certaine importance à votre unicité. Votre plus grande crainte serait d'être banal ou d'avoir une vie banale et c'est pourquoi vous n'hésitez pas à exprimer votre différence. C'est ce qui vous a amené à développer une certaine créativité qui en est la marque. Elle peut s'exprimer à travers votre personne, votre façon de vivre, de réagir, de vous habiller, ou d'aborder le quotidien. Elle peut aussi se traduire par un penchant prononcé pour le beau, l'esthétique, le noble, le délicat, l'harmonieux... et un besoin d'affirmer votre propre style.

Ce sentiment d'être hors norme peut parfois conduire jusqu'à une impression que vous n’appartenez à aucun groupe, que vous êtes en décalage. Cette impression de ne pas être comme tout le monde entraîne une forme de non-conformisme. Vous avez besoin de faire les choses comme vous l'entendez et vous avez d'ailleurs du mal à vous adapter aux "règles" d'un groupe.

Quand vous vivez un évènement douloureux, vous pouvez avoir tendance à vous créer une certaine image dramatisée de vous-même. Cette image vous ranime et vous anoblit par la perception de votre personne comme quelqu'un d'à part, une sorte de personnage tragico-romantique.

La peur d'être rejeté

Cette crainte d'être rejeté reste sous-jacente, même si elle est souvent inconsciente. Elle peut vous amener à réagir immédiatement à tout signe émanant des autres qui pourrait être interprété en ce sens – même si ce n'est pas la réalité : tout évènement, toute attitude, tout commentaire incertains ou ambigus peuvent faire remonter à la surface ce sentiment, cette peur d'être rejeté.

Des émotions particulièrement intenses

C'est avec énormément d'intensité que vous vivez vos émotions. Elles sont au centre de votre vie, au cœur de vos motivations. Très changeantes, elles peuvent vous faire passer facilement du bonheur au malheur, du chagrin à la joie, de l'enthousiasme au désespoir avec autant de force.

En effet, les émotions que vous vivez aujourd'hui font écho avec celles très fortes ressenties dans votre enfance, sur lesquelles votre personnalité s'est construite : à un moment où vous vous êtes peut-être senti abandonné, que cela corresponde ou non à une réalité. A l'époque votre état interne oscillait entre le désespoir de ne pas être assez aimé et l'espoir retrouvé dès que l'on vous portait de l'attention. Or vous aviez l'impression que celle-ci ne durait pas, et vous étiez alors replongé dans l'angoisse précédente, et ainsi de suite.

Ces oscillations émotionnelles ont probablement continué à l'âge adulte, avec ainsi une certaine faculté de passer facilement d'un état positif à un état négatif et vice-versa. Vos états positifs correspondent vraisemblablement à une situation interprétée inconsciemment comme une promesse de bonheur et d'amour réparateur qui sont la quête de votre vie. Vos états négatifs sont quant à eux la conséquence de ce que vous pouvez inconsciemment interpréter comme des signes de rejet, de manque d'attention, et de séparation.

De tout cela découle une connexion très forte au monde émotionnel lié à la souffrance, la mélancolie, la nostalgie. La mélancolie est d'ailleurs probablement une émotion assez présente en vous, si bien que vous pouvez avoir tendance à vous identifier à elle. Elle fait écho à votre sentiment diffus d'avoir vécu d'une certaine façon un drame personnel.

Vous êtes probablement attiré par un univers d'épanchements émotionnels exacerbés : ils vous procurent un ressenti d'une intensité dont vous êtes à l'origine, et non plus une émotion subie provenant du détachement d'une personne.

Vous avez même inconsciemment tendance à accentuer, à démultiplier vos ressentis, en un chavirement intérieur dramatisé plus attirant que le simple quotidien et son cortège de petites émotions. C'est aussi inconsciemment l'occasion de théâtraliser votre vie en vous sentant, une fois de plus, différent et unique. Pourtant vos émotions ne sont pas forcément visibles de l'extérieur et les autres ne les perçoivent pas toujours. De plus, malgré votre désir d'être compris, vous ne parvenez pas forcément à communiquer sur tout ce que vous ressentez.

Une tendance à l'exagération

Il est probable que vous ayez tendance à généraliser cette habitude d'accentuer vos émotions, en la transposant à d'autres domaines.
Ainsi vous pouvez parfois avoir tendance à présenter certains faits de façon exagérée voire dramatique, par exemple en employant facilement des superlatifs ou des termes excessifs. Et c'est inconsciemment que vous ajoutez cet aspect dramatique à la réalité, parce que vous la vivez comme telle. Certaines personnes peuvent penser que vous déformez la réalité en la théâtralisant alors que, pour vous, ce n'est qu'une juste retranscription de ce que vous avez vraiment ressenti à un moment donné. Ce qui est dommage c'est que ces personnes peuvent l'interpréter comme un manque d'authenticité alors que c'est précisément à cette authenticité que vous êtes attaché. D'autres personnes, inversement, seront impressionnées par les aspects tumultueux de votre vie, et attirées par votre personnalité.

Le goût de l'authenticité

L'authenticité est sûrement dans beaucoup de domaines ce que vous recherchez le
plus.
Authenticité des liens : vous détestez sans doute les relations purement frivoles et légères. Au contraire vous aimez la profondeur et l'intensité des relations et des moments de partage.
Authenticité des sentiments : vous attachez beaucoup d'importance à la vérité des sentiments et vous détestez probablement les gens qui simulent sans rien ressentir.
Authenticité des personnes : vous n'aimez probablement pas les gens superficiels. Vous appréciez les êtres vrais et authentiques.

Relation au temps

Vous vivez au présent des émotions émanant de votre projection à un autre temps. En effet, d'un côté cette impression héritée de l'enfance d'avoir perdu une forme de bonheur peut vous amener à ressasser des impressions du passé avec une certaine nostalgie et à les revivre émotionnellement. D'un autre côté vous pouvez aussi être transporté dans un futur fantasmé, prometteur d'un bonheur réparateur.
Votre attention oscillant entre ce passé ressassé et ce futur fantasmé a tendance, dans l'instant présent, à se focaliser sur ce qui manque par rapport à eux. Vous pouvez ainsi avoir parfois tendance à ne pas apprécier pleinement les situations présentes car vous ressentez tout de suite ce qui pourrait être mieux, ce qui aurait pu rendre l'instant plus intense, ce qui n'est pas là et qui aurait pu l'être... Et c'est peut-être sous l'influence du regret ou de la déception que vous vous détournez alors de ce que vous vivez. Vous repartez dans votre imaginaire.

Cette habitude est accentuée par le rôle que joue votre imagination : elle amplifie les éléments désagréables pour les rendre franchement déplaisants, et embellit ce qui manque pour le rendre enviable. Vous êtes ainsi probablement attiré par tout ce qui est hors d'atteinte.


Vos valeurs

De votre personnalité découlent certaines de vos valeurs.
Parmi elles nous pouvons citer :

- La différence, l'originalité en tant que fuite de la banalité.

- L'amour, les grands sentiments, les émotions, la passion

- L'authenticité, le besoin d'être dans le vrai

- La sensibilité, le besoin de vivre avec intensité

- Le beau, l'esthétique


Bien sûr vous avez encore bien d’autres valeurs. Mais celles que nous venons de citer sont étroitement liées à la construction de votre personnalité, et c’est en cela qu’elles nous intéressent dans ce profil.

Des qualités inhérentes à votre personnalité

Ces éléments de personnalité que nous avons décrits vous confèrent un certain nombre de qualités qui vous sont propres.

Ainsi vous êtes, entre autres :


- Créatif
- Original
- Spontané
- Authentique
- Sensible
- Humain
- Attentif aux autres
- Empathique. Vous êtes un vrai confident.
- Compatissant
- Doté d'une réelle intelligence émotionnelle
- Non-conformiste
- Doué d'une certaine sensibilité artistique
- Passionné

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A+, Fred.

Fin d'un monde ....

Après un week-end de terreur et de folie que je viens de vivre.
Après ce mail destructeur que j’ai reçu ce matin.
Après la dure réalité surgit en pleine face et qui a piétiné ce qui restait de vivant a l’intérieur de mon âme.
Elle a fait exactement tout ce que je redoutais.
Et ça a achevé le travail de sape du peu de raison qui me restait.
Cette après midi j’ai eu une discussion avec une amie qui connaît bien toute l’histoire
Elle m’a ouvert les yeux
Même si je le savais déjà.
Mais l’entendre de la bouche de tellement de gens à fini par enlever mes faux semblants.
J’ai enfin décidé de faire ce que je refuse le plus de faire.
J’ai le sentiment d’avoir échoué, un sentiment d’échec personnel.
J’ai la sensation de l’avoir perdu.
Mais ce n’est pas moi qui l’ai perdu, c’est elle qui m’a perdu.
J’ai été son copain, son amant, son ami, mais je suis toujours inexistant à ses yeux, transparent.
J’ai toujours été irréprochable.
J’ai toujours été la.
J’ai fait tout ce qu’il était humainement possible de faire.
J’ai trop souffert.
J’en souffre trop.
Je jette l’éponge.
Pour ma propre santé mentale j’y suis obligé.
J’ai décidé de ne plus la voir, de ne plus l’appeler, de ne plus lui écrire.
Et même si cette décision me déchire, m’écartèle, je vais m’y tenir.
Même si je sais que ma vie va vraiment être différente sans elle.
Même si je sais qu’a chaque seconde je vais être tenté de renouer le contact.
Même si son regard va continuer a hanter ma mémoire.
Même si je vais être en état de manque.
Ce sevrage me semble tellement inhumain, mais il est tellement nécessaire.
En tout cas, je vais avoir besoin de vous.
De votre soutien, de vos idées, de votre lecture, de votre présence, de votre discussion, de votre joie de vivre, de votre réconfort.
Et surtout je vais essayer de ne pas me noyer dans mon océan de larmes.
Et de ne pas flancher ……
A+, Fred.

Help .....

J'ai tellement mal !!!
Je n’en peux plus !
Il me faut des bras pour pleurer.
Je craque.
Je me bats à chaque seconde pour ne pas que les larmes viennent.
Et j’en crève.
J’ai besoin de pleurer, aidez-moi à pleurer.
Je vous en supplie.

dimanche, janvier 16, 2005

Torture de l'ame ...

Et là on est dimanche soir ………..
Aucunes nouvelles depuis vendredi …..
Aucun repos de l’esprit depuis vendredi.
Aucune nuit normale depuis ……
Aucun répit, aucun moment de paix.
Toujours cette angoisse et ces questions qui me hante.
Que s’est il passé ???
Où en est elle ???
Qu’a-t-elle fait ???
Pourquoi ne m’a t’elle pas appelée ?
Et encore, j’en crève, ça me ronge.
Cette obsession, ce bourdonnement lancinant.
A chaque fois que le téléphone sonne, mon cœur s’arrête !
J’ais peur de savoir et ne pas savoir me fait encore plus peur.
J’imagine tellement de choses……
Tellement de choses !
Jusqu'à en vomir, presque.
J’aimerais tellement réussir à fermer les yeux et à oublier.
Mais je ne peux pas, des que je les ferme, je la vois.
Et je ne suis pas là.
A+, Fred.

samedi, janvier 15, 2005

Petit record !!

Hier, je ne sais pas pourquoi mais le record du nombre de visiteur a été battu !!!
J'ai mis le resumé des stats en consultation publique , donc si ca vous interesse cliquez sur lem arqueur estat en bas a gauche du menu.
Si c'est ma copine (du post precedent) qui m'envoie des mail pour me dire que je suis nul ben elle en a regardé des pages ..
A+, Fred.

vendredi, janvier 14, 2005

Il y a des semaines .....

Voila ce que j'ai recu, je vous livre dans l'odre !!!!!!

premier mail recu
From: Amelie.B
To: fredelrick
Sent: Friday, January 14, 2005 10:59 PM
Subject: pitié
Grace à ton site j'ai enfin ressenti de la pitié pour une personne...

Ma reponse
Je ne sais pas trop comment je dois prendre ca!!!
En tout cas ce n'etait pas l'effet voulu.
A moins que ce ne soit ta reponse a mon petit concours ????
Si c'est ca , j'aimerais qu'on en parle un peu plus.
merci d'avoir eu le courage de m'ecrire.
A+, Fred.

Sa reponse
From: Amelie.B
To: fredelrick
Sent: Friday, January 14, 2005 11:25 PM
Subject: Re: pitié
Rien a voir avec ton concours (surement trés con...), j'ai juste parcouru ton site, les poèmes nuls, le choix des dessins nazes et puis ton humour de célibataire frustré à chier...

Et moi
merci c'est sympa
c'est cool , c'est ma premiere lettre d'insultes !!
je commencais a me demander si ca viendrait un jour

Encore elle
From: Amelie.B
To: fredelrick
Sent: Friday, January 14, 2005 11:31 PM
Subject: Re: pitié
Les gens sont hypocrites que veux tu et toi trop naif...

Et encore moi
il ne me reste donc plus qu'a aller m'imoler par le feu .
j'aime quand la critique est constructive, ca fait avancer les choses .
Pas que je considere que ce que je fait soit bien, mais bon face a un avis aussi tranché ....

Toujours elle
From: Amelie.B
To: fredelrick
Sent: Friday, January 14, 2005 11:37 PM
Subject: Re: pitié
ta raison de t'écraser t'as rien à dire.salut

Toujours moi
Alors pourquoi prendre la peine de m'ecrire ?
Si il n'y a pas de dialogue possible.
Juste pour te permettre de te lacher un coup, pour sortir de ton inexistence ?
On n'est pas obligé d'apprecier ce que font les gens, mais si on n'a rien a apporter aux autres on ne peut qu'avoir un discours tel que le tiens.
Alors que tu le dis si bien : Salut !


Je vous tiens au courant si la suite est du meme style.
A+, Fred.




A vif ....

On est sûr d'aimer quand on est jaloux, comme on est sûr de vivre quand on se fait mal.
Henri Duvernois

La jalousie aveugle un coeur atteint, et, sans examiner, croit tout ce qu'elle craint.
Pierre Corneille

La jalousie est de toutes les maladies de l'esprit celle à qui le plus de choses servent d'aliment et le moins de choses de remède.
Montaigne

Pourquoi toutes ces citations ??
Juste parce que là, je suis en train d'en crever, de mourir lentement a l'intérieur de ma tête et de mon cœur.
L’incessante torture que je m’inflige à moi-même.
Cette obsession, ces questions.
Pourquoi ???
Pourquoi est elle avec lui ?
Que se disent ils ??
Que font ils ??
La touche t’il ??
L’embrasse t’il ??
J’en suffoque…
Pourtant elle est venue, me voir ce soir, pour m’expliquer, pour me réconforter.
Elle est venue parce qu’elle a bien vue que je craquais.
Elle m’a aidé, beaucoup, mais c’est moi qui m’inflige ça.
Mais elle devait le voir ce soir….
Lui qui pour l’instant n’est rien.
Lui qui entre dans ma vie, lui qui me prend ma vie.
Lui, qui lui plait.
Et là, les savoir ensemble, sans n’avoir rien d’autre a faire que d’y penser, encore, encore, et encore ….
Et mon imagination, si précieuse par bien des cotés, là, ce soir elle me ronge, me brise, m’écartèle.
Toutes ces horreurs que mon esprit va chercher au plus profond de mes peurs.
Toute cette angoisse m’empêche même de fermer les yeux.
JE NE VEUX PAS Y PENSER !!!!
Mais je ne peux m’en empêcher.
Et cette impossibilité de l’appeler, car je ne veux pas lui ruiner sa soirée, je suis impuissant, les mains liées, la langue arrachée.
Spectateur immobile perdu au milieu de ses pensées.
A quoi ça rime tout ça ?
J’en ai marre de crever un peu plus à chaque inspiration.
J’en ai marre de refreiner les larmes qui s’agglutinent au bord de mes yeux.
J’en ai marre de rester la a espérer je ne sais quel miracle.
J’en ai marre de me détruire.
Je ne veux pas la perde, je ne veux pas la laisser partir.
Mais ce n’est pas ça, aimer quelqu’un, même au sens de l’amitié.
Aimer quelqu’un c’est vouloir son bonheur même si ce n’est pas avec vous, même si ça vous contrarie ou vous bouleverse.
Aimer quelqu’un c’est avec quoi qu’il arrive et quels que soient ses choix.
Même si j’en souffre, je suis avec elle.
Même si j’en crève je préfère la savoir heureuse dans ses bras qu’en train de pleurer dans les miens.
Mais ce soir, je n’en suis pas encore là.
A+, Fred.

Petit concours ...

Le but etant de connaitre un peu plus mes lecteurs et lectrices .
Alors voila j'aimerais que vous m'envoyiez un texte, une image, une photo, peu importe le support en gros, mais il faut que ce soit quelque chose qui vous fait vibrer (en bien ou en mal).
Quelque chose qui vous a interpellé, troublé, transporté, etc ......
Bref quelque chose de personnel.
Je resterais (tres) discret ;-)
J'attends vos idées par mail .
A+, Fred.

Le coucher du soleil romantique

Que le soleil est beau quand tout frais il se lève,
Comme une explosion nous lançant son bonjour !
- Bienheureux celui-là qui peut avec amou
rSaluer son coucher plus glorieux qu'un rêve !

Je me souviens ! J'ai vu tout, fleur, source, sillon,
Se pâmer sous son oeil comme un coeur qui palpite...
- Courons vers l'horizon, il est tard, courons vite
,Pour attraper au moins un oblique rayon !

Mais je poursuis en vain le Dieu qui se retire ;
L'irrésistible Nuit établit son empire,
Noire, humide, funeste et pleine de frissons ;

Une odeur de tombeau dans les ténèbres nage,
Et mon pied peureux froisse, au bord du marécage,
Des crapauds imprévus et de froids limaçons.

Charles Baudelaire

La destruction

Sans cesse à mes côtés s'agite le Démon ;
Il nage autour de moi comme un air impalpable ;
Je l'avale et le sens qui brûle mon poumon
Et l'emplit d'un désir éternel et coupable.

Parfois il prend, sachant mon grand amour de l'Art,
La forme de la plus séduisante des femmes,
Et, sous de spécieux prétextes de cafard,
Accoutume ma lèvre à des philtres infâmes.

Il me conduit ainsi, loin du regard de Dieu,
Haletant et brisé de fatigue, au milieu
Des plaines de l'Ennui, profondes et désertes,

Et jette dans mes yeux pleins de confusion
Des vêtements souillés, des blessures ouvertes,
Et l'appareil sanglant de la Destruction !

Charles Baudelaire

L'amour du mensonge

Quand je te vois passer, ô ma chère indolente,
Au chant des instruments qui se brise au plafond
Suspendant ton allure harmonieuse et lente,
Et promenant l'ennui de ton regard profond ;

Quand je contemple, aux feux du gaz qui le colore,
Ton front pâle, embelli par un morbide attrait,
Où les torches du soir allument une aurore,
Et tes yeux attirants comme ceux d'un portrait,

Je me dis : Qu'elle est belle ! et bizarrement fraîche !
Le souvenir massif, royale et lourde tour,
La couronne, et son coeur, meurtri comme une pêche,
Est mûr, comme son corps, pour le savant amour.

Es-tu le fruit d'automne aux saveurs souveraines ?
Es-tu vase funèbre attendant quelques pleurs,
Parfum qui fait rêver aux oasis lointaines,
Oreiller caressant, ou corbeille de fleurs ?

Je sais qu'il est des yeux, des plus mélancoliques
Qui ne recèlent point de secrets précieux ;
Beaux écrins sans joyaux, médaillons sans reliques,
Plus vides, plus profonds que vous-mêmes, ô Cieux !

Mais ne suffit-il pas que tu sois l'apparence,
Pour réjouir un coeur qui fuit la vérité ?
Qu'importe ta bêtise ou ton indifférence ?
Masque ou décor, salut ! J'adore ta beauté.

Charles Baudelaire

C'est tellement vrais ...
A+, Fred.

Je t'adore à l'égal de la voûte nocturne

Je t'adore à l'égal de la voûte nocturne,
Ô vase de tristesse, ô grande taciturne,
Et t'aime d'autant plus, belle, que tu me fuis,
Et que tu me parais, ornement de mes nuits,
Plus ironiquement accumuler les lieues
Qui séparent mes bras des immensités bleues.

Je m'avance à l'attaque, et je grimpe aux assauts,
Comme après un cadavre un choeur de vermisseaux,
Et je chéris, ô bête implacable et cruelle !
Jusqu'à cette froideur par où tu m'es plus belle !

Charles Baudelaire

Juste une envie de poesie ....
Personne en particulier , pas de jugements hatifs
A+, Fred.

jeudi, janvier 13, 2005

Superman !!!

Bon alors voilà :
Dans la série Fred à pas de bol …..
Je rentrais , ce midi , de mon petit repas .
Bon , c’est vrai je planais un peu , perdu dans mes sombres pensées et idées (car j’ai mangé avec Marie ……).
Bref je rentrais au boulot, a vélo.
Lorsque à un croisement , j’entends un énorme bruit de freins !
Je tourne la tête et là je vois arriver vers moi une moto, couchée par terre.
Mais super de chez super vite ! ! Imaginez la scène, une moto vous fonce dessus dans une débauche de bruit et d’étincelles ! !
Pas cool !
Re-bref, malgré mes réflexes foudroyants, je ne peut pas totalement l’esquiver et elle me fauche la roue arrière .
Sur ce , je commence un beau vol plané, digne de superman (d’ou le titre …) et je vais m’encastrer dans le coté d’une fourgonnette .
Y laissant une bien belle marque ma fois .
Je me relève , miraculeusement indemne, et là j’entends un autre bruit de freins !
Merde , me dis-je au tréfonds de moi ! ! ? ? ?
Encore un couillon qui vas me rentrer dedans , une moto ?
Que nenni ! Un beau camion d’éboueurs , bien gros , bien vert .
Vert comme moi , au moment ou je réalise que je suis coincé entre une camionnette (la même ! !), l’amas moto/velo et le fameux camion.
Bon ben j’ai fini dur le capot de la dites camionnette.
Encore une fois indemne ! !
Une fois tout le monde calmé , et surtout a l’arrêt , l’heure du bilan et de l’explication arrive.
La version finale, celle que la police considère comme officielle ( oui il y a eu la police ! !) est la suivante .
Le moteur roulait un peu vite, le feu est passé au rouge il a freiné mais a glissé sur la chaussée.
Moi je suis passé au vert ( en fait j’ai peut être démarré un peu tôt , mais leur feu était rouge) et donc en glissant il m’a percuté.
Ensuite, le camion suivait la moto, ils avaient fini de travailler et rentraient au dépôt, donc la discussion allait bon train dans la cabine.
Comme la moto roulait ils la suivaient, assez inattentifs .
Lorsque la moto a freiné puis glissé , eux ils ont paniqué , freiné et dérapé.
Il y avait eu des travaux très récemment , et la chaussée était pleine de gravillon , ceci explique cela !
En tout cas , une belle peur ! ! !
Mais même pas mal ……
Bon moi je suis pas en tord , j’ai mal nul part (difficile a croire si vous aviez vu la gueule du coté de la camionnette ! !) , donc pas de suites .
Quand ça veux pas , ça veux pas ……………..
A+, Fred.

mercredi, janvier 12, 2005

Deuxième couche

Rien a voir.
En plus c’est sans doute du a mon état de ce soir.
Ca partait d’un bon sentiment, j’en suis sur !
Même, quelque part, ça me fait vraiment plaisir.
Cette marque d’attention me touche même beaucoup en fait.
Mais là, ce soir, ça a fini de m’achever.
Tu n’aurais jamais du me poser cette question ce soir, en plus tu savais pour Marie, je venais de te le dire.
Mais je m’attendais a tout sauf a ça.
Même si ça me fait plaisir de vous voir si heureux ensemble (vraiment, je ne dis pas ça pour faire plaisir, c’est pas mon style), de savoir que vous allez vous marier, que vous prévoyez de passer votre vie ensemble.
Le coup du faire part de mariage, ça ma achevé.
C’est un peu trop pour le même soir.
C’est beaucoup trop réel, trop palpable.
Je n’avais pas besoin de cette prise de conscience.
Mais merci quand même, je ne veux pas que tu te vexe, car je suis vraiment touché.
Même si ça a fini de me déstabiliser complètement ….
A+, Fred.

Première couche !

Je ne pensais pas que ça me toucherait tant !
Je ne pensais surtout pas que ça arriverait aussi vite, surtout pas maintenant.
Mais il semblerait qu’elle se soit trouvée quelqu’un d’autre.
Je ne sais pas pourquoi, je ne sais même pas à quoi ça rime, mais ça me détruit complètement.
Ca faisait sans doute trop longtemps que je n’avais pas pleuré.
Il faudrait quand même que j’arrive un peu à me blinder sentimentalement.
Que j’arrête d’être si fragile.
Je pensais quoi ?
Qu’elle resterait éternellement célibataire, une fille comme elle, si séduisante ….
Vraiment ce que je peut être con, utopiste et aveugle.
Je comprends mieux maintenant son soudain délaissement depuis quelques jours, voire quelques semaines.
Et évidemment il a fallu que je lui pose la question.
Celle qui tue, qui remue les tripes : tu as quelqu’un d’autre ?
Mais c’est moi qui ai deviné, qui ai du demander, elle ne me l’a pas dit, malgré nos promesses.
Ca me rappelle trop autre chose !
C’est la même chose !
Ne rien dire, sans doute dans un but louable : ne pas me faire de mal.
Mais merde, c’est ça qui me fait mal à moi !!
Et non on n’était pas ensemble, plus, mais et alors ? On partageait tant de choses.
Comme si je ne pouvais pas comprendre……
Comme si je ne comptais pas pour elle.
Comme si je n’existais pas !
Et là, je suis en larmes, comme un imbécile.
Complètement paumé, a mes triturer le cerveaux sous toutes les questions qui m’assaillent.
Tout ça simplement parce que je me sens trahi et rejeté.
Les choses dont j’ai le plus peur au monde.
Pourquoi est ce que ça vient toujours des gens qu’on aime ?
Pourquoi est ce que ce sont les mêmes personnes qui nous font tant bien qui nous font tant de mal ?
Il suffisait d’en parler, d’un sourire, et ça serait passé, ça m’aurait touché aussi (ne soyons hypocrite) mais pas pour les mêmes raisons.
Alors non je n’irais pas manger avec elle demain midi, je n’en ai pas la force, ni le courage.
Je ne veux pas me mettre à pleurer au milieu d’un restaurant bourré de monde.
Tout ce que je souhaite, c’est qu’elle me rappelle, me redise : viens !
Qu’on se retrouve, que la tendresse revienne, que la gêne disparaisse.
J’en ai besoin, de cet affectif qui me manque tant.
D’elle, tout simplement.
Simplement parce que c’est mon amie et qu’elle me manque.
Mais là, ce soir, je me sens vulnérable à un point…
Comme isolé sur une falaise inaccessible.
Et j’ai peur.
A+, Fred.

dimanche, janvier 09, 2005

L'effet papillon

Je n’ais pas l’habitude de donner mon avis sur des films ici.
Je trouve que la perception que l’on a des choses est très personnelle et très subjective.
Mais là, celui la, faut que j’en parle !
Je ne saurais que vous encourager à le regarder.
Il est vraiment exceptionnel, comparable à certain autre chef d’œuvre du cinéma psychologique comme « vol au dessus d’un nid de coucou » ou « le silence des agneaux ».
Suspens haletant, auto questionnement sans interruption, réflexion.
J’ai toujours aimé la théorie du chaos, et la je trouve que dans ce film elle est remarquablement bien exploitée et expliquée.
Pour ceux qui ne la connaisse pas, elle dit que :
Le battement d’ailes d’un papillon peut causer l’apparition d’un ouragan ailleurs sur la terre.
Les implications de ce genre de choses sont énormes.
La plus commune est que le moindre fait peut agir, dans un enchaînement incroyable d’actions, à provoquer quelque chose de tout a fait inattendu et incroyablement puissant.
De ce fait, aucune de nos actions n’est anodine.
Et ce filme traite admirablement ce sujet.
Bref, j’en suis encore tout retourné.
A+, Fred.

samedi, janvier 08, 2005

Le temps va au temps

Le temps passe.
Tout s’efface.
Les sentiments s’en vont.
L’amour s’évanouit.
La tendresse disparaît.
Le respect s’effrite.
Après la passion débordante il y eu la tendresse, la douceur, le petit cocon douillet de jolis sentiments, de jolies promesses.
Maintenant, plus rien, l’abandon.
Petit a petit tout a disparut.
Il ne reste rien.
Même pas un coup de téléphone pour dire qu’on ne viendra pas, qu’on est désolé.
Rien.
Et moi, petit à petit, je me meurs de plus en plus.
Tel un poisson hors de l’eau je me convulse en cherchant désespérément une bouffée d’air, d’attention.
Tu te détruis petit à petit, tu me détruis aussi.
Je pense que notre prochaine rencontre va te surprendre.
Il y aura explication, et puis froideur, puisque c’est ce que tu veux.
Je pense que tu vas le regretter le Fred si attentionné, si présent, si réconfortant, que tu connaissais.
Mais à force, je me lasse de ton désintérêt, je ne supporte plus ton indifférence.
Le pire est que tu n’en à même pas conscience, persuadée que tu es, que je serait toujours là.
Tu me perds ; et moi, une fois qu’on m’a perdu, c’est pour toujours.
Il te reste une chance, une seule, je ne t’en accorderai pas d’autre.
Saisi la !
A+, Fred.

mercredi, janvier 05, 2005

Wannadoo .............

Ouaip .
Ben là ils sont en maintenance jusqu'au 17 , donc migration sur un autre serveur ftp ......
Tu m'etonne que j'arrivais pas a poster !
Bref , pour vous ca change rien, mais pour moi ca a ete une prise de tete pendant deux jours.
Decidement, cette année commence pas bien !!!
A+, Fred.

Bon là, ça ne vas plus du tout !!!

Toute la journée, depuis 17h00 j'essai de mettre en ligne le post précédent !!
Là il est 3h00 du mat et j'y arrive toujours pas .
Je ne sais pas quand il sera en ligne, ni quand celui-ci y sera aussi, mais :
L'informatique c'est nul !! bouhhhhh
A+, Fred (qui aimerais bien ne plus etre insomniaque, paske demain reveil 7h00 ....).

mardi, janvier 04, 2005

Réponse

Il n'y a pas si longtemps que ca, une charmante jeune fille (vive oil of olaz !!) m'a lancé un defi :
Une joute proverbiale .....
Round 1 !

On examine avec soin les objets dans les boutiques, mais quand il s'agit des gens, on les juge sur l'apparence.
Aristippe de Cyrène
Celle là, je pense qu'on est d'accord

L'absence diminue les médiocres passions et augmente les grandes, comme le vent éteint les bougies et allume le feu.
La Rochefoucauld

Aimer, c'est préférer un autre à soi-même.
Paul Léautaud

Le passé et le présent sont nos moyens ; le seul avenir est notre fin.
Blaise Pascal

Il est aussi absurde de regretter le passé que d'organiser l'avenir.
Roman Polanski
Ca doit etre pour ça que je suis ausi bordelique ...

Le passé, l'avenir, ces deux moitiés de vie dont l'une dit jamais et l'autre dit toujours.
Alphonse de Lamartine

Les sots parlent beaucoup du passé, les sages du présent et les fous de l'avenir.
Marie du Deffand

Nous gagnerions plus de nous laisser voir tels que nous sommes, que d'essayer de paraître ce que nous ne sommes pas.
La Rochefoucauld
A bon entendeur(euse) .....

Il n'y a point de mal à voir ce que les gens nous montrent. Ce n'est point moi qui ai tort de vous trouver coquette ; c'est vous qui avez tort de l'être.
Marivaux
Dommage qu'elle ne me lise pas ....

La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit.
Oscar Wilde

On a beau rêver de boissons : quand on a réellement soif, il faut se réveiller pour boire.
Sigmund Freud

Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer.
Théophile Gautier

Le destin mêle les cartes et nous jouons.
Arthur Schopenhauer

Bon, sur ce, j'aimerais bien quelques commentaires !
A+, Fred.

lundi, janvier 03, 2005

Réalité

Comme toujours lorsque quelqu’un que j’aime souffre je souffre encore plus qu'elle.
Elle doit aller assumer ses choix, affronter la dure réalité.
J’espère que le courage ne va pas lui manquer…..
Moi je ne peux rien y faire, je ne peux pas l’aider à traverser cette période difficile.
Mais je suis avec elle de tout mon cœur et de toute mon âme.
J’espère que je ne vais pas la récupérer en miettes.
J’ai réussi à la faire sourire avant qu’elle ne parte, c’est déjà ça.
J’espère réussir à la réconforter à son retour.
Pourquoi donc la vie est elle si sinueuse ?
Pourquoi est-ce qu’elle ne pourrait pas être un peu plus simple ?
Là je sais que pendant son absence, deux jours, je vais en être malade à sa place.
D’ailleurs elle n’est pas encore partie que j’en suis déjà malade.
Mais, puisqu’il parait que je suis le rigolo de service, le fou du roi, et bien je vais faire rire.
Je vais, une fois de plus, le prendre au second degré, en auto-derision, en ironie la moins cynique possible.
Dire qu’après tout, ce n’est pas si grave, l’amour n’est pas si important.
Je l’aime, elle le sait, mais là c’est son tour, c’est à elle de dire adieu a son amour.
Et ce n’est pas chose aisée, ça je suis bien placé pour le dire.
J’ai aimé trois fois dans ma vie, et trois fois j’ai du dire adieu.
(Enfin, adieu, avec moi ce n’est pas aussi simple J’ai un peu tendance à ne pas m’en aller, ou alors elles ne veulent pas me laisser m’en aller trop loin ! Dans les deux cas, je reste avec elles, et des fois le cœur s’emballe ……… mais ne changeons pas de sujet !!)
Bref, je ne sais plus trop ou je voulais en venir, mais comme d’hab, je me suis perdu en chemin.
Va vraiment falloir que je trouve le mode d’emploi ……
A+, Fred.

dimanche, janvier 02, 2005

Midinette suite

Regarder un autre DVD !
Et s’apercevoir que quand même, ça peut être beau la vie a deux.
Se dire que sourire, voire l’amour dans le regard de l’autre, c’est plus fort que tout.
Je ne vais même pas regarder la fin de film !
Je ne veux pas, je la connais.
Juste me dire que peut être un jour je lirais ça, dans les yeux de quelqu’une.
J’espère, je cours après.
Je ne veux pas raisonner comme tout le monde, me dire que celle là elle est pas mal, que c’est le moindre mal !
Je veux connaître, l’AMOUR, le vrai, celle qui me fera déplacer les montagnes, et par un simple regard.
J’en ai marre des poufs, que je rencontre toute les soirées, oui Ok, je baise quand je veux, et alors ??
Moi ce n’est pas après ça que je cours, mais alors pas du tout.
Pourquoi est-ce que ce ne sont que certaines de mes ex, ou mes copines qui me font cet effet là ?
Les seules qui arrivent à transporter mon cœur sur une dimension, me détruisent un peu à chaque fois.
Mais je ne lâcherais pas l’affaire, j ne laisserais pas tomber !
Je te trouverais TOI !
Et j’ai déjà quelque idées ……………
A+, Fred.

samedi, janvier 01, 2005

Midinette

Regarder un DVD de jeunes américains au collège.
Avec histoire a 30 centimes d’euros et paris stupides.
Connaître déjà la fin avant même d’avoir commencé a le regarder.
Mais pleurer comme une grosse quiche a la fin.
C’est beau d’être un romantique.
Mais ça fait mal.
A+, Fred.

Fin d'année suite

Alors :
Bon, l’année finit donc comme elle s’est déroulée, mal !
En gros, l’Espagne le 31 c’est la mort.
Pas un chat, rien d’ouvert, NADA !!
Donc 6h00 de voiture pour rien et retour en France vers 1h00 du matin.
Avec Paul on s’est souhaité la bonne année dans la voiture !
Trop bien …………..
On a quand même finit par trouvé un bar lounge sympa à Biarritz (merci Mag).
Mais le cœur n’y était plus du tout, surtout pour Paul qui était crevé.
Donc , non c’était pas une bonne soirée.
Je préfère penser que c’est l’année 2004 qui finit mal, plutôt que penser que l’année 2005 commence mal ….. Sinon …………..
Bref, une fois de plus ………
Sinon, ben retour rapide a Bordeaux, je me retrouve seul dans mon grand appart jusqu'à ce que mon cher Coloc rentre (je ne sais toujours pas quand !!).
Et comme en plus j’ai eu la bonne idée de prendre mon lundi ………
La joie quoi !
Je sens que je vais écrire.
Comme en plus j’ai des nouvelles lectrices, ça tombe bien !
Ah, oui, aussi, les SMS, gratuits aujourd’hui chez Bouygues mais qui ne veulent pas s’envoyer !!
Ca fait 5h00 que j’essaye et j’ai pas fini, alors si vous le recevez a 12h00 demain ne vous étonnez pas ………….
Chaque année je me demande pourquoi je déteste autant la fin d’année, cette année j’ai enfin trouvé une réponse.
A+, Fred.