dimanche, mai 22, 2005

En souvenir de jeudi soir ......

Douce nuit,
Promesse d’un bien être infini,
Tendre nuit,
Entre nos corps ébahis.

Même si les interdis,
Non pas été franchis,
Nos corps enlacés,
Ne pouvaient se séparer.

Renforcé par les barrières établies,
Le bonheur n’en fut pas moins inouï.
Au réveil nos yeux ne voulaient pas s’ouvrir
De peur de voir la magie s’enfuir.

Et pourtant cela avait mal commencé,
Entre deux personnes que l’on sentait gênées,
Aucun des deux n’osait se toucher,
Aucun des deux ne voulait se presser.

Mais la finalité est restée inchangée,
Savourer ces instants partagés,
Surtout ne pas se blesser,
Et surtout ne pas se leurrer.

Même si l’envie, au matin s’est réveillée,
Même si il est vrai que l’on aurait bien dérapé,
Je ne regrette pas que l’on se soit raisonné,
Car je n’oublierais pas ce moment d’éternité.

Frédélrick.